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Assistance technique : Comment Techteam allie soft skills et hard skills

Rédigé par : Hafsa Sbai
Mis en ligne le : 26 septembre 2025
Temps de lecture : 4 min

Dans un environnement industriel sous tension, recruter rapidement des consultants qualifiés n’est plus une option : c’est une condition de survie. Chaque projet stratégique dépend de la capacité à mobiliser immédiatement les bonnes compétences, sans délai ni compromis.

C’est précisément sur ce terrain que Techteam a bâti son modèle d’assistance technique : combiner réactivité, agilité, précision et exigence pour connecter les bons consultants aux besoins des industriels.

Un vivier de consultants déjà prêts à intervenir

Dans l’industrie, le temps est un facteur de risque. Quand un projet démarre ou prend de l’ampleur, les entreprises n’ont pas six mois pour recruter. Elles doivent s’appuyer sur un partenaire capable de mobiliser immédiatement des experts déjà validés.

Clément, Lead Business Manager chez Techteam, explique :

« Chez Techteam, on a un vivier de consultants depuis plus de 15 ans dans l’industrie, notamment dans la région AURA. On arrive à déployer des consultants très rapidement sur les projets de nos clients. »

Ce gain de temps évite aux industriels d’entrer dans des processus de recrutement longs et incertains, et leur garantit que leurs projets ne prennent pas de retard faute de ressources disponibles.

Comprendre précisément le besoin du client

Trouver le bon consultant ne se limite pas à répondre à une fiche de poste. La vraie valeur d’une société de conseil réside dans sa capacité à traduire les attentes parfois complexes d’un industriel en critères clairs et mesurables.

Hafsa, Talent Recruiter, détaille la méthode :

« En collaboration avec l’équipe managériale (les BM), on fait une analyse fine du besoin pour qu’on puisse le traduire en critères spécifiques qu’on va aller rechercher directement chez le client. On est en contact que ce soit du côté candidat ou du côté client, avec des visites sur site pour pouvoir comprendre le projet et l’expliquer au mieux au candidat. On a également une double vision sur le processus de recrutement chez Techteam, on organise d’abord un échange avec le recruteur ou le RH, et par la suite un échange avec le BM, ce qui nous permet d’avoir une double validation des compétences de ce candidat. »

Cette double validation et cette proximité avec le client renforcent la pertinence des personnes proposées.

Au-delà des compétences techniques : l’importance du facteur humain

Dans un marché où la technique est de plus en plus standardisée, la différence se joue sur les qualités humaines. Les sociétés de conseil performantes évaluent aussi bien les compétences que la motivation et les soft skills.

Hafsa insiste :

« On le sait tous aujourd’hui, le hard skills n’est plus suffisant. Le soft skills du candidat, sa capacité d’adaptation dans les équipes clients, sa capacité à se vendre auprès du client est très importante dans le sens où avant d’intégrer une compétence, on intègre également un humain. »

« La motivation est très importante pour la pérennité du candidat chez Techteam mais également pour la mission chez le client. »

Vincent, président fondateur de Techteam, confirme :

« Les consultants n’arrivent pas comme des robots, ils arrivent chargés d’engagement, d’intelligence, au-delà de leurs compétences et de leur flexibilité. »

« Aujourd’hui, nous intégrons dans toute la sélection des consultants que nous plaçons, des consultants qui sont évalués sur la partie soft skills. Pour cela, il y a la partie sélection mais aussi tout l’accompagnement, toute la phase de la réalisation du projet où nous faisons le point environ 1 fois par mois en triparties : le consultant, le client et nous-même, pour venir aider le client sur la partie technique s’il a besoin d’être renforcé. Mais c’est surtout sur la partie soft skills, on va l’aider pour aller chercher des éléments d’adaptation aux équipes, au projet. »

Ces propos mettent en lumière un point essentiel : un consultant efficace, ce n’est pas seulement un expert technique, c’est un professionnel engagé et capable de s’intégrer dans la culture du client.

Le rôle stratégique du Business Manager

Au cœur de ce processus, le Business Manager joue un rôle pivot. Plus qu’un intermédiaire, il est garant de l’excellence opérationnelle et relationnelle tout au long du projet.

Laurent Graciani, dirigeant de LG Excellencia, souligne cette importance :

« Le rôle du BM est essentiel en AT. Il intervient en phase amont, lors de la qualification technique des projets. Son rôle est de rassembler toutes les informations utiles pour pouvoir bien sélectionner les meilleures compétences menant au succès des projets de nos clients. Ensuite, son rôle est de suivre le projet pour s’assurer de la satisfaction du client et pour pouvoir mettre en place tout le support de la société. Ça peut être une formation pour notre équipe de consultants, un monitora technologique qui viendrait d’un consultant plus senior. Donc c’est un moyen pour le client de bénéficier au-delà de la compétence individuelle de nos consultants, du savoir-faire capitalisé de la société de conseil. »

Le Business Manager devient ainsi le garant du succès : il sécurise la sélection initiale et assure un suivi qui permet d’adapter en permanence les moyens aux besoins réels du client.

En savoir plus les avantages de l’assistance technique en lisant nos articles :

Conclusion

Chez Techteam, nous savons qu’un projet industriel ne peut pas attendre. Mobiliser rapidement le bon consultant, comprendre finement les besoins, évaluer autant l’humain que la technique : ce sont ces leviers qui permettent à nos clients de rester compétitifs dans un environnement incertain.

Vous dirigez une entreprise industrielle et cherchez à renforcer vos équipes avec des consultants qualifiés ?

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Hafsa Sbai

Chargée de recrutement et happiness manager chez Techteam. Mon rôle est essentiel pour attirer et sélectionner les talents qui rejoindront notre équipe et contribueront à notre succès. Je mets toute mon énergie pour identifier les consultants qui correspondent à nos besoins et à notre culture. Mais mon engagement ne s’arrête pas là : en tant que Happiness Manager, je veille à maintenir un environnement de travail motivant et positif, où chacun se sent épanoui et prêt à donner le meilleur de lui-même.